Du Val d’Hérens au Val d’Hérémence

Fin juin… c’est la canicule! C’est donc à pic que tombe ce trek prévu entre le Val d’Hérens et le Val d’Hérémence!
Mais pas sans un passage obligatoire par la vieille ville de Sion. Si le peu qu’on voit de cette ville en rentrant du ski l’hiver ne vous a jamais attiré, vous n’êtes pas les seuls… mais sous ses airs de métropole industrielle étouffant nos pauvres Valère et Tourbillon, Sion a beaucoup à offrir! Si je devais vous donner un conseil c’est de se laisser balader sans rien chercher (excepté le détour par La Matriochka, séduisante terrasse et bar à gin qui se trouve à la ruelle du Guêt, et dont le charme et la décoration ne vous laisserons pas sur votre faim!)

Pour un peux d’air frais, nous commençons notre tour à Arolla, plus précisément dans la forêt d’arolles et de mélèze entourant l’Hotel Kurhaus, véritable havre de paix typique du tourisme du XIXè siècle. S’ensuit la montée en direction du Pas de Chèvres avec pour arrière-fond le Pigne d’Arolla et beaucoup d’autres sommets encore bien enneigés. Notre première halte se fait déjà voir une fois arrivées au Pas; la Cabane des Dix. Notre programme largement calculé nous permet de profiter de la vue à 360° assises sur la terrasse de la cabane. Nous sommes entourées de neige, de sommets, de glaciers et de pierriers – enfin nous avons ce que nous cherchions: le calme!

Le lendemain s’annonce bien moins intéressant d’un point de vue sportif puisqu’une longue descente sur le Lac des Dix nous attend, suivie d’un chemin blanc jusqu’au bout de ce dernier… Mais même si d’être aussi tôt dans la saison nous a valu quelque rebroussement de chemin dûs à la neige, cela nous vaut également d’être suivies par des dizaines de marmottes encore pas trop dérangées par les promeneurs!
Nous devions initialement dormir à la Cabane de Prafleuri pour ensuite continuer notre chemin sur le Val de Nendaz mais la neige nous stoppera avant. Nous montons tout de même jusqu’au Col des Roux puis redescendons dormir du côté du Lac.
La dernière étape étant annulée, nous profitons des Bouquetins et marmottes qui se chamaillent autour de La Barma, puis nous nous laissons même réveiller par le spectacle que nous proposent les étoiles lorsque l’on s’éloigne de la pollution lumineuse.

Sion En partant d'Arolla Pas de Chèvres depuis la cabane Cabane des Dix Descente sur le Lac des Dix Col des Roux Visiteurs du soir… La Barma; Pige d'Arolla et Mont Blanc de Cheilon en arrière-plan Spectacle astral

Pintenfritz – oder die längste Schlittelabfahrt der Welt

So einfach geht’s:
1. von Grindelwald bis First lässt man sich mit der Gondel hochfahren;
2. von First bis zum Faulhorn (oder Gassenboden aber dann is es nicht mehr die längste Abfahrt!) zu Fuss; der Schlitten zieht man hinter sich
2b. man vergisst nicht, das schönste Panorama der Welt zu genießen (Bachalpsee, Wetterhorn, Schreckhorn,…)
3. dann ganz schnell hinunterfahren!
4. oops! bremsen und im Bussalp Bergrestaurant eine “warmi Schoggi” trinken
5. dann wieder ganz schnell bis Grindelwald
6. nach einer warmen Dusche hier noch die Geschichte der Abfahrt lesen

Oberhalb First Bachalpsee Gassenboden Gassenboden Richtung Bussalp Bussalp – Wetterhorn, Schreckhorn, Finsteraarhorn Bussalp – Schreckhorn, Finsteraarhorn, Eiger, Mönch

Wart (2705m)

Als ich mit dem Postauto auf die Grosse Scheidegg fuhr, war meine Idee bis zum Wildgärst zu wandern (zirca 3 Stunden). Leider war das Wetter oben nicht optimal, nämlich war der Gipfel mit Nebel bedeckt. Deshalb lief ich nur bis zum Wart – der Pass zwischen dem Wildgärst (2890) und dem Schwarzhorn (2928). Trotz des vielen Schnees war ich aber nicht alleine!

Von der Grossen Scheidegg bis zur Kreuzung Scheidegg–Oberläger konnte ich noch die mutigen Läufer des Eiger Ultra Trail anfeuern.

Chiemattenhubla Abzweigung Scheidegg Oberläger – gegen Grindelwald farbenprächtige Alpenblumen strenger Winter... rechts (versteckt) Schrybershiri Wetterhorn (zwischen dem Schwarzhorn und dem Schrybershiri)

Graubünden – Val Mora

Les ravitailleurs ne participant pas à la course, nous voilà partis pour la première partie des 103km . En partant de Tschierv, nous passons par Fuldera (départ du parcours Jauer) pour remonter jusqu’à Döss Radond et ensuite redescendre le Val Mora, non sans croiser de nombreux vététéistes. Une fois arrivés au Lago di San Giacomo di Fraéle, mais aussi en Italie, nous remontons le Valle Alpisella pour ensuite rejoindre le village de Livigno (IT). La partie joignant cette station de ski à la Suisse n’est pas des plus intéressante, malgré la forme curieuse de son lac-barrage. Ceci étant peut-être dû au contraste avec le Val Mora, dans lequel on se croirait propulsé en pleine région montagneuse d’Asie Centrale. Il nous faut donc longer le Lago di Livigno en empruntant les demi-tunnel jusqu’à la frontière, où se trouve également l’arrêt de la navette nous ramenant en Suisse, puisque la route emprunte un tunnel à sens unique interdit aux cyclistes. De l’autre côté de ce tunnel, à Punt la Drossa, il nous reste encore le Pass dal Fuorn à passer avant de profiter de la dernière descente sur Tschierv!

En montant sur Döss Radond Photo: Damien Aymon Praveder Photo: Damien Aymon Döss Radond côté Val Mora Photo: Damien Aymon Val Mora Photo: Damien Aymon Aua da Val Mora Photo: Damien Aymon Val Mora Photo: Damien Aymon Val Mora Photo: Damien Aymon Lago dell' Alpisella, Passo di Valle Alpisella Photo: Damien Aymon Livigno, au bord du Spöl Photo: Damien Aymon Lago di Livigno Photo: Damien Aymon Hotel Parc Naziunal Il Fuorn Photo: Damien Aymon Sur le chemin du col, peu avant Buffalora Photo: Damien Aymon